nOS FORMATIONS

Formation VGP : Contrôleur & Vérificateur d’accessoires, appareils et engins de levage (Arrêté du 1er mars 2004)

évaluation en contrôle continu

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, lunettes)

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, bleu de travail adapté au soudage)

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, casque)

Tarifs

Formation sur site client | Tarif INTRA ENTREPRISE :1515 €HT par jour de formation pour le groupe + déplacement sur site client

Financement

Facturation : Sociétés immatriculées en France / Belgique / Luxembourg / Suisse / Canada / Monaco / Andorre

Prise en charge OPCO : OPCO2i – AFDAS – ATLAS – Ocapiat – Uniformation – Constructys – L’Opcommerce – Akto – Opco Mobilités – Opco EP – Opco Santé

Formations technologiques et écologiques éligibles au FNE Formation (Fond National pour l’Emploi-Formation) : Analyse prédictive (Prédiction) / Cobot – Robot – Robotique – Robotisation / Automate – automatisme / Programmation / Vision / Sécurité des API / Empreinte environnementale / Efficacité énergétique / Optimisation / Ecologie / Reduction produit chimique / Diagnostique énergétique / Gestion de l’eau / Hydrogène

Formation NON prise en charge par le CPF (Compte personnel de formation) Ni par France Travail (Pole Emploi)

Arrêté  du 1 mars 2004 obligation de vérification périodiques sur les accessoires de levage (vérification générale périodique (VGP))

Formation suivant les certifications et inspections COFRAC.

Directives nouvelles approches 2006/42/CE + DIRECTIVE 2009/104/CE

Code du travail R 4323-23  ( vérifications générales périodiques)

Obligation sécurité : art.L1421-1 à L1421-5 employeur- art.L1421-1 employé

Art.L4311-1 à L4311-3 obligations fabricants  art. L4321-1 utilisateurs

Examen d’adéquation de la vérification générale périodique (VGP)

Rappels techniques ( câbles, soudures, assemblage de torons)

Calcul densité

Technologies des appareils manuels et des accessoires

Terminaisons des élingues acier

Critères de remarque sue les câbles, chaines, textiles ,crochet

Marquage CE

Accessoires, appareils et engins de levage : 

Anneaux de levage divers

PIRL – Plateforme Individuelle Roulante Légère

Nacelles

Manille droite et lyre

Elingues Chaines ,Elingue textiles, Elingues acier

Aimant de levage

Bras

Chaine a maille calibrées, jointives

Les palans, palans a câble

Palan à levier Pul lift

Chandelles de déroulage

Coupleurs

Grues à tour

Grues mobiles

Grues de chargement

Engins de terrassement

Tracteur

Chariot élévateur

Plateforme mobile (PEMP)

Treuil

Pont roulant

Table élévatrice

Plateformes

Hayon

Portique

Palonniers différents type

Harnais

Crochets ,pinces

Potences sur fut, bâtiment, mur, poteau, articulée

Cric -grue atelier

ÉQUIPEMENTS DE LEVAGE (vérification générale périodique (VGP)

– Les normes

– La réglementation

– Les habilitations

– Vérification et maintenance

– Marquage

– Obligation du fournisseur

– Exigences d’information de l’utilisateur

– Méthodologie de contrôle

– Organisation et périodicité

– Les registres

– Responsabilité du contrôleur

 

PRATIQUE :

– Réalisation de contrôle du matériel de l’entreprise ;

– Identification du matériel ;

– Enregistrement par les stagiaires sur les registres correspondants.

Le port des E.P.I est obligatoire

 

QUESTIONS / REPONSES :

Dans quelles circonstances et sur quelle base règlementaire, les machines, appareils, et accessoires de levage doivent-ils être vérifiés ?

Quels sont les objectifs des vérifications ?

A quelle fréquence doit-on vérifier ls machines, appareils, et accessoires de levage lors de leur exploitation ?

Qui réalise ces vérification ?

Qualifié, accrédité, notifié, de quoi s’agit-il ?

Quel est le contenu des rapports de vérification ?

Comment connaitre la nature des vérifications effectuées par une entreprise extérieure ?

Quelles sont les conditions d’exécution des intervention ?

Y a t il des délais à respecter lors de vérifications sur demande de l’inspection du travail ?

Quels sont les documents à produire ou à transmettre à l’inspection du travail à la CARSAT, CRAMIF, CMSA, par l’entreprise qui utilisent les équipements ?

Comment traiter les observations des rapports ?

Toutes les zones sont elles soumises à l’arrêté du 1 Mars 2004 ?

Un essai à charge maximale est il requis ?

Qu’est ce qu’un changement de site d’utilisation ?

Les repères visuels d’inspection indiquent ils que l’appareil ou l’accessoire est en bon état ?

Essai de fonctionnement / Epreuves dynamiques.

 

INFOS RH : 

QU’EST-CE QU’UNE VGP ?

L’objectif de la VGP tel que défini par le Code du Travail, est de déceler en temps utile toute détérioration susceptible de créer des dangers, afin de permettre au chef d’établissement utilisateur de préserver la santé et la sécurité des travailleurs.

La VGP est une vérification de l’état de conservation des équipements de travail, dont le contenu, les modalités et les périodicités sont définies par des arrêtés du ministère du travail ou de l’agriculture.

L’arrêté relatif aux vérifications des appareils et accessoires de levage, est l’arrêté du 1er mars 2004.

QUI EST CONCERNÉ PAR LA VGP ?

Les vérifications générales périodiques constituent une obligation réglementaire à respecter pour les chefs d’entreprise (et travailleurs indépendants), qu’ils soient industriels, loueurs de matériels, à la tête d’une société de manutention ou d’une entreprise du BTP.

QUEL CADRE LÉGISLATIF ENTOURE LES VGP ?

Outre l’obligation générale de sécurité définie à son article L. 4321-1 « les équipements de travail et les moyens de protection mis en service ou utilisés dans les établissements doivent être équipés, installés, utilisés, réglés et maintenus de manière à préserver la sécurité et la santé des travailleurs », le Code du Travail impose aux établissements concernés, la réalisation de vérifications périodiques ainsi que les modalités de réalisation de celles-ci dans ses articles R4323-23 à R4323-27.

Comment se déroule une VGP ? 

La VGP d’un appareil de levage dont le contenu est définie à l’article 23 de l’arrêté du 1er mars 2004, comprend :

  • Des examens visuels destinés à apprécier l’état de conservation de l’appareil de levage, de ses supports éventuels ainsi que de ses équipements interchangeables installés le cas échéant, afin de déceler les défectuosités ou les détériorations apparentes telles qu’usures, déformations, corrosions, fissures, assemblages défectueux, …
  • Des essais de fonctionnement destinés à apprécier le bon fonctionnement des mécanismes ainsi que de s’assurer de l’efficacité de fonctionnement de tous les dispositifs installés sur l’appareil tels que notamment les freins ou dispositifs équivalents destinés à arrêter puis à maintenir à l’arrêt les charges et l’appareil, ou les limiteurs de charge ou de moment…
QUELLE PÉRIODICITÉ POUR LES VGP ?

La périodicité des VGP, c’est-à-dire une fréquence maximale de vérification des équipements est définie par les arrêtés ministériels pris en application du Code du travail. Cette périodicité démarre à la date de la mise en service de l’appareil neuf.

Périodicité des appareils de levage

La vérification générale périodique des appareils de levage doit avoir lieu tous les douze mois.

Toutefois, cette périodicité est de Six mois pour :

  • Les élévateurs de personne motorisés, c’est-à-dire mus par une énergie autre que la force humaine
  • Les appareils de levage explicitement listés aux II de l’article 20, il s’agit notamment des grues auxiliaires, des grues mobiles, des grues à montage rapide, des bras pour bennes amovibles, des hayons, des engins de terrassement utilisés en levage, des chariots élévateurs…
  • Appareils de levage mus par la force humaine listés aux III de l’article 20, sauf lorsqu’ils sont installés à demeure ou leur périodicité reste annuelle.

Cette périodicité est de 3 mois pour les élévateurs de personne mus par la force humaine employée directement.

Quels risques encourt le chef d’entreprise ?

L’absence de VGP a de sérieuses conséquences si un accident survient sur le lieu de travail, à cause d’un appareil non vérifié. La prise en charge par l’assurance est remise en cause. En cas de manquement, le chef d’entreprise responsable risque une amende de 3750 euros. Cette somme est ensuite multipliée par le nombre de collaborateurs de l’entreprise impliqués par l’infraction.

Le chef d’entreprise prend aussi le risque de perdre son honorabilité. Outre d’éventuelles poursuites civiles, sa responsabilité pénale peut être engagée en cas d’accident corporel. Les peines peuvent aller jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.

QUI PEUT-EFFECTUER LES VGP ?

Les vérifications générales périodiques sont réalisées par des personnes qualifiées, appartenant ou non à l’établissement, dont la liste est tenue à la disposition de l’inspection du travail.

Ces personnes sont compétentes dans le domaine de la prévention des risques présentés par les équipements de travail soumis à vérification et connaissent les dispositions réglementaires afférentes, comme l’indique l’article R4323-24 du Code du travail.

La circulaire d’application de l’arrêté du 1er mars 2004 précise sur ce point qu’en tout état de cause, qu’il appartient au chef d’établissement de s’assurer de la compétence et de la qualification de la personne chargée des vérifications.

L’ED 6339 de l’INRS relative aux vérifications des machines et appareils de levage précise que choisir un organisme d’inspection accrédité est un des moyens dont dispose l’employeur pour s’assurer de la qualification et de la compétence du vérificateur désigné et ainsi pour justifier de la confiance à accorder aux résultats des vérifications effectuées.

  • Appareil de levage : machines et leurs équipements, conduits par un ou des opérateurs qui agissent sur les mouvements au moyen d’organes de service dont ils conservent le contrôle, dont au moins une des fonctions est de déplacer une

Se référer à l’arrêté du 1er mars 2004 pour la définition complète des appareils soumis à des vérifications réglementaires.

  • Accessoire de levage : équipement non incorporé à une machine, à un tracteur ou à un autre matériel et placé entre la machine, le tracteur ou tout autre matériel et la charge, tels qu’élingue, palonnier, pince auto-serrante, aimant, ventouse, cé de

Voir l’arrêté du 1er mars 2004 : 

Les appareils de levage sont des équipements de travail qui peuvent présenter des risques vis-à-vis des personnes s’ils ne sont pas maintenus dans un état de conservation satisfaisant. Afin de réduire ces risques, des vérifications réglementaires ont été instaurées pour les appareils de levage de charge ou de personne ainsi que pour les accessoires de levage. Les vérifications et les appareils concernés sont définis dans l’arrêté du 1er mars 2004 reproduit en annexe B. Cet arrêté prévoit trois types de vérifications.

La vérification de mise en service :

Cette vérification est effectuée lors de la première utilisation d’un appareil ou d’un accessoire de levage dans l’entreprise. Elle a pour objectif de s’assurer que l’appareil ou l’accessoire est installé conformément aux spécifications prévues, le cas échéant, par la notice d’instructions du constructeur. Elle permet également de s’assurer que l’équipement peut être utilisé en sécurité.

La vérification générale périodique :

Cette vérification doit permettre de déceler, en temps utile, toute détérioration d’un appareil ou d’un acces- soire de levage susceptible de créer un danger. Elle est effectuée suivant une périodicité réglementaire sur tous les appareils et accessoires de levage utilisés dans l’établissement et pouvant présenter un danger pour le personnel.

 

La vérification de remise en service

 

Cette vérification est effectuée sur les appareils ou accessoires de levage faisant l’objet d’une opération de démontage et remontage ou toute modification susceptible de mettre en cause leur sécurité. Elle a pour objectif de s’assurer de l’absence de toute défectuosité susceptible d’être à l’origine de situations dangereuses. Le remplacement des chaînes, câbles ou cordages intégrés dans l’appareil de levage ne nécessite pas de procéder à la vérification de remise en service, à condition de respecter les exigences citées à l’article 21 de l’arrêté. Elle doit également être effectuée suite à un accident provoqué par la défaillance, le remplacement, la modification ou la réparation d’un organe essentiel.

Cette vérification inclut l’ensemble des vérifications

et essais requis par les vérifications générales périodiques. Un rapport de vérification de remise en service peut donc se substituer à une vérification générale périodique pour la même configuration d’emploi.

L’utilisateur d’un appareil ou d’un accessoire de levage doit toujours s’assurer de la réalisation des vérifications réglementaires. Si la vérification effectuée est partielle (par exemple une vérification de remise en service ne comportant pas l’examen d’adéquation, une vérification périodique avec une charge d’essai non significative), il appartient à l’utilisateur de prendre les mesures adap- tées (procéder ou faire procéder aux compléments de vérification, mesures organisationnelles, etc.).

Venir en formation muni de ses EPI (chaussures de sécurité, gants, VAT)

MÉTHODE ET MOYENS

PC et vidéo projecteur. 1 Copie des cours est remise aux stagiaires sur clé USB.

DOCUMENTATION

Toute documentation fournie au stagiaire pendant sa formation est utilisable au quotidien dans l’entreprise au cours de son activité professionnelle.

PÉDAGOGIE

Techniques pédagogiques utilisées sont Participative et Actives.

QUALITÉ

Nous réalisons à chaque fin de formation une évaluation à chaud sur la base des objectifs définis dans la fiche de programme.

SANCTION

Une attestation de stage est délivrée à l’issue de toutes les formations.

Méthode d'évaluation

En contrôle continu et tests de connaissances pour les formations habilitantes.

Formations réalisables en entreprise sur les secteurs :

VILLES: 01-Paris 02-Marseille 03-Lyon 04-Toulouse 05-Nice 06-Nantes 07-Strasbourg 08-Montpellier 09-Bordeaux 10- Lille 11- Rennes 12- Reims 13-Le Havre 14-Saint-Étienne 15-Toulon 16-Grenoble 17-Angers 18-Dijon 19-Brest 20-Le Mans 21-Nîmes 22-Aix-en-Provence 23-Clermont-Ferrand 24-Tours 25-Amiens 26-Limoge 27-Villeurbanne 28-Met 29-Besançon 30-Perpignan 31-Orléans 32-Caen 33-Mulhouse 34-Boulogne-Billancourt 35-Rouen 36-Nancy 37-Argenteuil 38-Montreuil 39-Saint-Denis 40-Roubaix 41-Avignon 42-Tourcoing 43-Poitiers 44-Nanterre 45-Créteil 46-Versailles 47-Pau 48-Courbevoie 49-Vitry-sur-Seine 50-Asnières-sur-Seine 51-Colombes 52-Aulnay-sous-Bois 53-La Rochelle 54-Rueil-Malmaison 55-Antibes 56-Saint-Maur-des-Fossés 57-Calais 58-Champigny-sur-Marne 59-Aubervilliers 60-Béziers 61-Bourges 62-Cannes 63-Saint-Nazaire 64-Dunkerque 65-Quimper 66-Valence 67-Colmar 68-Drancy 69-Mérignac 70-Ajaccio 71-Levallois-Perret 72-Troyes 73-Neuilly-sur-Seine 74-Issy-les-Moulineaux 75-Villeneuve-d’Ascq 76-Noisy-le-Grand 77-Antony 78-Niort 79-Lorient 80 Sarcelles 81-Chambéry 82-Saint-Quentin 83-Pessac 84-Vénissieux 85-Cergy 86-La Seyne-sur-Mer 87-Clichy 88-Beauvais 89-Cholet 90-Hyères 91-Ivry-sur-Seine 92-Montauban 93-Vannes 94-La Roche-sur-Yon 95Charleville-Mézières 96-Pantin 97-Laval 98-Maisons-Alfort 99-Bondy 100-Évry

REGIONS : Alsace, Aquitaine, Auvergne, Basse-Normandie, Haute-Normandie, Bourgogne, Bretagne, Centre, Champagne-Ardenne, Corse, Franche Comté, Ile De France (IDF), Languedoc-Roussillon, Limousin, Lorraine, Midi-Pyrénées, Nord pas de Calais, Pays de la Loire, Picardie, Poitou-Charentes, Provence Alpes Côtes d’Azur (PACA), Rhône Alpes, Hauts de France, Grand-Est, Normandie, Centre val de Loire, Nouvelle Aquitaine, Occitanie.

DÉPARTEMENTS :
01 – Ain / 02 – Aisne / 03 – Allier / 04 – Alpes-de-Haute-Provence / 05 – Hautes-Alpes / 06 – Alpes Maritimes / 07 – Ardèche / 08 – Ardennes / 09 – Ariège / 10 – Aube / 11 – Aude / 12 – Aveyron / 13 – Bouches-du-Rhône / 14 – Calvados / 15 – Cantal / 16 – Charente / 17 – Charente-Maritime / 18 – Cher / 19 – Corrèze / 21 – Côte-d’Or / 22 – Côtes-d’Armor / 23 – Creuse / 24 – Dordogne / 25 – Doubs / 26 – Drôme / 27 – Eure / 28 – Eure-et-Loir / 29 – Finistère / 2B 2A Corse / 30 – Gard / 31 – Haute-Garonne / 32 – Gers / 33 – Gironde / 34 – Hérault / 35 – Ille-et-Vilaine / 36 – Indre / 37 – Indre-et-Loire / 38 – Isère / 39 – Jura / 40 – Landes / 41 – Loir-et-Cher / 42 – Loire / 43 – Haute-Loire / 44 – Loire-Atlantique / 45 – Loiret / 46 – Lot / 47 – Lot-et-Garonne / 48 – Lozère / 49 – Maine-et-Loire / 50 – Manche / 51 – Marne / 52 – Haute-Marne / 53 – Mayenne / 54 – Meurthe-et-Moselle / 55 – Meuse / 56 – Morbihan / 57 – Moselle / 58 – Nièvre / 59 – Nord / 60 – Oise / 61 – Orne / 62 – Pas-de-Calais / 63 – Puy-de-Dôme / 64 – Pyrénées-Atlantiques / 65 – Hautes-Pyrénées / 66 – Pyrénées-Orientales / 67 – Bas-Rhin / 68 – Haut-Rhin / 69 – Rhône / 70 – Haute-Saône / 71 – Saône-et-Loire / 72 – Sarthe / 73 – Savoie / 74 – Haute-Savoie / 75 – Paris / 76 – Seine-Maritime / 77 – Seine-et-Marne / 78 – Yvelines / 79 – Deux-Sèvres / 80 – Somme / 81 – Tarn / 82 – Tarn-et-Garonne / 83 – Var / 84 – Vaucluse / 85 – Vendée / 86 – Vienne / 87 – Haute-Vienne / 88 – Vosges / 89 – Yonne / 90 – Territoire de Belfort / 91 – Essonne / 92 – Hauts-de-Seine / 93 – Seine-Saint-Denis / 94 – Val-de-Marne / 95 – Val-d’Oise

LUXEMBOURG : Luxembourg Differdange Esch sur Alzette Dudelange Bettembourg

BELGIQUE (Wallonie) : Namur, Charleroi, Liège, Mons, Tournai, Bruxelles (Région Brabant Wallon, Province du Luxembourg, Hainaut, Namur, Liège)

SUISSE : Zurich, Genève, Bâle, Lausanne (Régions Fribourg, Jura, Neuchâtel, Valais, Vaud)

DOM-TOM (DROM-COM) :971 – Guadeloupe972 – Martinique 973 – Guyane974 – La Réunion 975 – Saint-Pierre-et-Miquelon 976 – Mayotte 977 – Saint-Barthélemy978 – Saint-Martin 986 – Wallis-et-Futuna 987 – Polynésie Française 988 – Nouvelle-Calédonie
MONACO : Monte-Carlo

CANADA : Quebec / Montréal